Vous pouvez suivre ce reportage ci dessous : Extrait de l'émission TEBEO
Dans ce petit reportage, on compare avec l'installation de LANGOLVEN, mais il faut comparer ce qui est comparable
La-bas, c'est un projet privé qui doit être au moins 10 fois inférieur à ce qui se passerait à Bannalec, les déchets ne sont pas les mêmes puisque issus de l'exploitation de l’initiateur du projet qui a dû même faire une route à ces frais pour avoir un accés plus direct à son unité, gênant moins les riverains.
Construite par une entreprise Allemande. ( Y en a t-il d'autres ?), il faudrait demander à M. Marc Bauzet dont le partenaire privilégié est outre-Rhin.....
C'est depuis l'Allemagne que les réglages biologiques se font concernant les apports de matières, pour obtenir un rendement adéquat de l'unité de cet exploitant...Téléprogrammation ? "le suivi biologique de l'installation se fera à distance depuis l'Allemagne. C'est eux qui actionneront les apports au cas où il manque un peu de graisse, de fumier, de lisier ou de chaleur»."
Par téléphone, le responsable de Naskéo explique suite au crainte de M. Poupon, maraîcher à Bannalec, que tout va bien , et que l'azote et le phosphore en excédant partira sous formes d'engrais, dans les régions déficitaires. Possible, mais où sont ces régions? Comme il parait que les usines de méthanisations deviennent à la mode, on se retrouvera peut-être avec des tonnes de ces engrais stockés en attente de partir....vers des régions bien contentes dans un premier temps, n'ayant pas à gérer la surdose de ces produits pour les raisons que l'on connait.
Quant au final du reportage on l'on dit que le permis de construire est accordé, on fait l'amalgame car cela n'a aucun rapport avec l'enquête publique, puisque celui-ci à été accordé par le maire de Bannalec en Novembre 2011, il y a plus d'un an, sans connaitre les modalités de l'Enquête. Ceci le plus légalement du monde.
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Le collectif "Logebeg degaz" organise une réunion d'information Lundi 11 Février 2013 à 19h au Bar Restaurant de Loge Begoarem, 29380 Bannalec.
Un peu partout les industriels de la méthanisation ont la même démarche: trouver une usine agroalimentaire alibi,peu importe qu'il y ait des riverains il faut construire au plus près et l'installation est largement sur- dimensionnée par rapport aux déchets locaux,ceci afin de réduire les coûts de construction et d'exploitation.Aux nuisances du site alibi(s'il y en a) s'ajouteront des nuisances dues aux transports et aux traitements des déchets plus celles engendrées par la combustion du gaz 365 jours par 24 heures sur 24.
RépondreSupprimerIl est désolant de devoir s'opposer à la méthanisation qui est au départ une bonne idée, mais elle doit se concevoir comme un projet de territoire et de proximité,et ne pas être installée en dépit du bon sens. A Guerlesquin elle est même prévue sur le périmètre de protection rapprochée d'un captage d'eau potable sans que cela n'interpelle ni l'ARS ni les services du préfet